A la mère de Nadhir Ktari on n’a pas seulement ôté la joie de voir son fils, on l’a aussi privée de la tristesse que ressent toute mère quant à la mort de son fils; par l’effet de la colère qui dépasse la tristesse et de la résignation qui fait accepter le pire et nous le fait réclamer presque. Sa résignation est réaction et sa réaction est action alors que tous font semblant de bouger en restant sur place, des mois durant. Nos otages en Libye méritent mieux que des interrogations en guise de deuil.
INÈS EN BREF
Ce blog rassemble mes articles et chroniques.
Il est le résultat de mon intérêt pour l’actualité. Il est l’image écrite de mon affinité avec les mots.
Un focus sur les informations qui touchent et une lecture particulière des faits marquants.