A la fois gênée et perplexe par et face à notre capacité d’occulter ce que notre « conscience » tente de dépasser. Le souvenir de Bourguiba s’en retrouve dénué de tout scrupule quant au silence ayant accompagné et encouragé sa mise à mort, bien avant le 6 avril 2000. Peut ainsi commencer, dans la sérénité avec soi-même, la déification du leader devenu mythe du pouvoir maîtrisé… jusqu’à ce que le peuple lâche le lâche.
INÈS EN BREF
Ce blog rassemble mes articles et chroniques.
Il est le résultat de mon intérêt pour l’actualité. Il est l’image écrite de mon affinité avec les mots.
Un focus sur les informations qui touchent et une lecture particulière des faits marquants.