L’horreur est encore plus frappante quand elle est raisonnée, préparée et argumentée. Elle dépasse l’entendement, quand elle théâtralise la cruauté. Elle frôle avec l’indécence, quand, dans la manière de la percevoir, elle est banalisée. Elle dévie de la réalité vers la fiction; de la fiction vers la science-fiction, tant elle flirte avec le sur-réel. En cherchant le divin et la conformité à ses préceptes, on est allé vers le mimétisme faussement réfléchi de ce divin (qui est aussi châtiment). C’est ainsi que se décèle la part de bestial que recèle l’humain muté en inhumain par la recherche du divin qui définitivement n’est pas en lui.
INÈS EN BREF
Ce blog rassemble mes articles et chroniques.
Il est le résultat de mon intérêt pour l’actualité. Il est l’image écrite de mon affinité avec les mots.
Un focus sur les informations qui touchent et une lecture particulière des faits marquants.