Lors de la conference conjointe France kazakhstan, un journaliste de France 2 a interrogé le président Nazarbaïev sur l’affaire de corruption dans laquelle il est impliqué. Le président kazakh a répondu à la question embarrassante à côté d’un françois Hollande quelque peu gêné mais ne répliquant d’ aucune manière. Hier fait similaire chez nous. Le malheureux et détestable Mokdad a eu ce qu’il voulait: une heure de gloire parmi les siens, un buzz parmi ceux nombreux qui ne le supportent pas et la preuve que la liberté d’expression n’est belle à voir que chez les autres. La « leçon de journalisme » (on l apprlle ainsi ailleurs) devient sur nos terres audace excessive, goujaterie et synonyme d’incidents diplomatiques.
INÈS EN BREF
Ce blog rassemble mes articles et chroniques.
Il est le résultat de mon intérêt pour l’actualité. Il est l’image écrite de mon affinité avec les mots.
Un focus sur les informations qui touchent et une lecture particulière des faits marquants.